Un joyeux baroud d’honneur numérique
Sur PQR, Mon Amour, Sabine Blanc nous conte l’aventure d’un groupe de reporters de l’édition du Cher de La Nouvelle République qui, après la décision de fermer leur édition, ont continué l’expérience Pure Player, avec les moyens du bord » — Ils avaient le choix entre rester chez eux ou faire du pure player, le temps de connaître [...]
Sur PQR, Mon Amour, Sabine Blanc nous conte l’aventure d’un groupe de reporters de l’édition du Cher de La Nouvelle République qui, après la décision de fermer leur édition, ont continué l’expérience Pure Player, avec les moyens du bord »
—
Ils avaient le choix entre rester chez eux ou faire du pure player, le temps de connaître leur sort. Pour la plupart, les reporters de l’édition du Cher de La Nouvelle République ont opté pour la seconde solution, un départ la tête haute avant la fermeture définitive de leur édition fin octobre, trois semaines après l’arrêt de la version papier.
A la fin, quelques-uns ont bien voulu dresser le bilan avec moi : Johan Guillermin, Annaïck Mainguy, Agnès Aurousseau, trois localiers de Bourges, et un “sportif”, Jean-Marc Duret. Des journalistes qui n’avaient travaillé jusqu’à présent que sur le print, tout ayant été fait pour qu’ils ne mettent pas le nez dans le web : leurs papiers étaient mis automatiquement en ligne dans la nuit, sans mise à jour possible dans la journée et ils ne produisaient pas de contenus multimédias.
—