Cette semaine, vous allez (encore) tomber amoureux grâce à OWNImusic. Le nouvel objet de votre affection s'appelle cette fois-ci CTRL, et croyez-nous, ça vaut le détour.

Un son“dirty” rock aux influences hip hop, des refrains pénétrants le tout adossé à une structure solide, un univers sexy et controlé, ils s’appellent C.T.R.L.

Manuel Cortell et Dakota Penny (Dorothée Pierson) se sont rencontrés il y a deux ans et décident d’écrire ensemble, l’un pour sa voix, l’autre pour son groove. Dakota a une éducation musicale classique, travaille en label, chante par-ci par-là, Manuel est intermittent, guitariste pour des groupe connus et moins connus. Ils commencent à se produire 6 mois plus tard. Ils tournent pour affiner leur projets. Une trentaine de dates, de l’international à l’Olympia en première partie de Kasabian, la Maroquinerie, la Flèche d’or, le Baron… Djamel (Dj Hatrick) les a rejoints il y a 6 mois et incruste une nouvelle couleur au duo déjà bien solide et aux objectifs bien précis.

En live, l’équipe est stupéfiante. Un son construit et travaillé, la diva au charisme et à la voix envoûtante hypnotise la salle haletante. On sent et on entend la complicité du duo dont les voix, basses et mordantes font fusion. Dakota sait mener la danse et exprimer ses passions avec brio et une sensualité qui ne laisse personne insensible.

Leurs sonorités sont universelles et malgré leur volonté de dépasser les frontières, ils sont fiers d’être parisiens et tiennent à rester basés en France. Conscient d’évoluer sur un style moderne, un genre “hybride”, ils croient en la génération internet qui a appris à écouter divers styles et se cultive de manière de plus en plus internationale. Ils osent la fusion rock, hip hop, electro-dark mais ils savent que le mélange doit être fin et maîtrisé pour être efficace. Ils prennent donc le parti de travailler dur pour construire un répertoire de qualité qui saura faire apprécier ce contrôle.

Voici donc deux ans que C.T.R.L travaille et perfectionne ses créations. Le projet mûrit et ils nous font aujourd’hui l’honneur d’offrir un échantillon du fruit de leurs recherches. Internet leur plaît et les inspirent mais ils sont prudents. Pour eux, c’est une stratégie et ils sont conscients du rythme de la viralité. Ils savent que tout peux s’accélérer comme on peut vite se faire oublier. Une fois sur la toile, ils ne voudraient pas lasser ou trahir leurs futurs fans. La génération zapping ne leur fera pas de cadeau et ils ont bien l’intention d’exploiter ce nouveau média avec soin. Leur présence online sera effective, maîtrisée et aussi entière que leur musique. Ils sont prêts à utiliser tout les aspects passionants de l’outil, du crowdsourcing au concours de remixes, de Twitter en passant par OWNImusic et à en respecter les usages qui y sont associés tels la transparence et la culture du partage…. à condition d’avoir quelque chose à dire, un répertoire complet, un spectacle rodé et le bagage musical nécessaire pour bâtir une base de fans solide et engagée. Le marketing est utile mais la qualité de leurs productions sera selon eux l’assurance du succès.

Ils tiennent à s’entourer de personnes compétentes pour les conseiller sur les tâches diverses qu’un artiste doit gérer aujourd’hui. Ces métiers stratégiques que sont le marketing et la communication ne sont pas les leurs. Par respect pour leur fonction et leur auditoire ils se concentrent sur la musique. Internet à tout prix mais pas n’importe comment. “Une bonne chanson restera toujours une bonne chanson, qu’ils en écoutent une ou cinquante par jour.” Avec leurs parcours respectifs, ils disposent d’un bon réseau, ce qu’ils trouvent plus essentiel qu’un label, un éditeur reste cependant à la base pour les compositeurs qu’ils sont. Un service promotionnel innovant et efficace, c’est tout ce dont ils ont besoin.

Un EP au printemps, une tournée cet été, un album dans un an, il est l’heure de lâcher ces perles de pur son, en téléchargement et à prix libre…

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Crédits photos: Thibault Stipal

Cover : Loguy/Thibault Stipal

Ne manquer pas leur prochaine date: le 18 novembre à l’international

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