Datasexuels, les nouveaux exhibitionnistes
[pêché sur Largeur]
Andrew Kim est né le 6 novembre 1991 à 19h01, heure de Séoul - où il a vécu 8 ans. Son arrière-grand-père paternel Bongha Kim cultivait le tabac et son grand-père maternel Sangok Kim, pour sa part, était joueur de badminton professionnel. Ces cinq dernières années, il a acheté 5 téléphones mobiles et 2 voitures. Sa consommation d'alcool tourne principalement (60%) autour du vin, en proportion inverse à sa consommation de caféine. Il compte actuellement 3587 chansons sur iTunes, et il écoute en priorité Bob Dylan et Johann Strauss. C'est un grand fan de Kubrick et il sait, à l'unité près, combien il a pris de photos depuis 2006.
Andrew Kim est un datasexuel [en]. Un type fasciné par la "big data", notamment sur celle qui le concerne directement. Il sait tout, note tout, exhibe tout. Certains s'aident même d'outils perfectionnés pour traquer la moindre de leur activité professionnelle. Jusqu'à former les rêves les plus dingues.
Ce sont ces fous de la data qui sont décrits dans cet article publié par le magazine en ligne genevois Largeur sous le titre (repris ici) "Datasexuels, les nouveaux exhibitionnistes", "nouvelle tribu urbaine narcissique et hyperconnectée qui monitore sa vie sur les réseaux sociaux". À ne pas rater pour garder un œil averti sur la psychosociologie de l'Internet.
Andrew Kim est né le 6 novembre 1991 à 19h01, heure de Séoul - où il a vécu 8 ans. Son arrière-grand-père paternel Bongha Kim cultivait le tabac et son grand-père maternel Sangok Kim, pour sa part, était joueur de badminton professionnel. Ces cinq dernières années, il a acheté 5 téléphones mobiles et 2 voitures. Sa consommation d'alcool tourne principalement (60%) autour du vin, en proportion inverse à sa consommation de caféine. Il compte actuellement 3587 chansons sur iTunes, et il écoute en priorité Bob Dylan et Johann Strauss. C'est un grand fan de Kubrick et il sait, à l'unité près, combien il a pris de photos depuis 2006.
Andrew Kim est un datasexuel [en]. Un type fasciné par la "big data", notamment sur celle qui le concerne directement. Il sait tout, note tout, exhibe tout. Certains s'aident même d'outils perfectionnés pour traquer la moindre de leur activité professionnelle. Jusqu'à former les rêves les plus dingues.
Ce sont ces fous de la data qui sont décrits dans cet article publié par le magazine en ligne genevois Largeur sous le titre (repris ici) "Datasexuels, les nouveaux exhibitionnistes", "nouvelle tribu urbaine narcissique et hyperconnectée qui monitore sa vie sur les réseaux sociaux". À ne pas rater pour garder un œil averti sur la psychosociologie de l'Internet.