La révolte syrienne se joue aussi sur le web
[lu sur The Los Angeles Times]
Quand les opposants au régime syrien ne combattent pas dans les rues, ils poursuivent la lutte sur Internet. Rebelles comme loyalistes se sont lancés dans le déploiement d'un vaste dispositif de désinformation sur le Net et s'affrontent sans relâche depuis des mois.
Formée à la sécurité informatique par des partisans de Bachar al-Assad, l'armée syrienne a piraté les comptes Facebook et Twitter d'Al Arabiya, une chaîne saoudienne d'information en continu pour diffuser de fausses informations sur le Qatar qui avait appelé à armer les rebelles syriens.
Ces affrontements sur le web ont débouché il y a quelques semaines sur le plus grand fait d'arme des rebelles hackers : l'interception des emails entre Bachar al-Assad et sa femme Asma. Les documents ainsi récupérés avaient été transmis au quotidien britannique "The Guardian" pour être publiés.
Quand les opposants au régime syrien ne combattent pas dans les rues, ils poursuivent la lutte sur Internet. Rebelles comme loyalistes se sont lancés dans le déploiement d'un vaste dispositif de désinformation sur le Net et s'affrontent sans relâche depuis des mois.
Formée à la sécurité informatique par des partisans de Bachar al-Assad, l'armée syrienne a piraté les comptes Facebook et Twitter d'Al Arabiya, une chaîne saoudienne d'information en continu pour diffuser de fausses informations sur le Qatar qui avait appelé à armer les rebelles syriens.
Ces affrontements sur le web ont débouché il y a quelques semaines sur le plus grand fait d'arme des rebelles hackers : l'interception des emails entre Bachar al-Assad et sa femme Asma. Les documents ainsi récupérés avaient été transmis au quotidien britannique "The Guardian" pour être publiés.