Les confessions de l’espion d’Anne Lauvergeon
[Lu sur Challenges]
Après les révélations du Canard Enchainé sur l'espionnage du couple Lauvergeon et d'un cadre d'Areva dans l'affaire UraMin, l'ancienne présidente du groupe a porté plainte contre X.
La >première affaire, faisait intervenir la société APIC et son troublant patron Marc Eichinger. La seconde a été orchestrée par la société suisse Alp Service et Mario Brero, son fondateur. À la suite de la plainte contre X d'Anne Lauvergeon, le parquet a ouvert une enquête. Et Mario Brero a leur envoyé une lettre, dont Challenges a obtenu une copie [PDF].
Dans cette confession, Mario Brero détaille et date l'ensemble de ses rencontres physiques et ses échanges par mail avec les commanditaires d'Areva. Dont certains entretiens avec Sébastien de Montessus, le Directeur du Business Group Mines d'Areva.
Selon Challenges, Jean-Pierre Versini, l'avocat d'Anne Lauvergeon a obtenu de Mario Brero cette confession en "contrepartie de ne pas porter plainte en suisse, lui évitant ainsi le risque de perdre sa licence d'enquêteur privé".
L'affaire UraMin ne fait donc que commencer.
Après les révélations du Canard Enchainé sur l'espionnage du couple Lauvergeon et d'un cadre d'Areva dans l'affaire UraMin, l'ancienne présidente du groupe a porté plainte contre X.
La >première affaire, faisait intervenir la société APIC et son troublant patron Marc Eichinger. La seconde a été orchestrée par la société suisse Alp Service et Mario Brero, son fondateur. À la suite de la plainte contre X d'Anne Lauvergeon, le parquet a ouvert une enquête. Et Mario Brero a leur envoyé une lettre, dont Challenges a obtenu une copie [PDF].
Dans cette confession, Mario Brero détaille et date l'ensemble de ses rencontres physiques et ses échanges par mail avec les commanditaires d'Areva. Dont certains entretiens avec Sébastien de Montessus, le Directeur du Business Group Mines d'Areva.
Selon Challenges, Jean-Pierre Versini, l'avocat d'Anne Lauvergeon a obtenu de Mario Brero cette confession en "contrepartie de ne pas porter plainte en suisse, lui évitant ainsi le risque de perdre sa licence d'enquêteur privé".
L'affaire UraMin ne fait donc que commencer.