Troller les terroristes
[Lu sur Danger Room de Wired]
Mieux que Guantanamo, plus fort que les drones : le trolling. Le Département d’État entend user de cet art de la critique facile (et usante) pour lutter contre le terrorisme. L'entreprise est très sérieuse. Le programme a un nom, Viral Peace, et des architectes, dont Shahed Amanullah, un conseiller sénior en technologie.
Il explique vouloir utiliser "la logique, l'humour, la satire et des arguments religieux pour ruiner et démoraliser les terroristes, pas seulement pour les affronter." L'entraînement des premiers trolls, sentinelles polyglottes de Washington, a commencé au printemps dernier.
L'expérience a déjà été tentée par les forces de l'Otan engagées en Afghanistan qui se disputent joyeusement avec les Taliban sur Twitter. En France, l’État major des armées nous avait précisé en janvier dernier "ne pas utiliser ce mode d'action". Fidèle à sa tradition de "terroriser les terroristes" ?
Mieux que Guantanamo, plus fort que les drones : le trolling. Le Département d’État entend user de cet art de la critique facile (et usante) pour lutter contre le terrorisme. L'entreprise est très sérieuse. Le programme a un nom, Viral Peace, et des architectes, dont Shahed Amanullah, un conseiller sénior en technologie.
Il explique vouloir utiliser "la logique, l'humour, la satire et des arguments religieux pour ruiner et démoraliser les terroristes, pas seulement pour les affronter." L'entraînement des premiers trolls, sentinelles polyglottes de Washington, a commencé au printemps dernier.
L'expérience a déjà été tentée par les forces de l'Otan engagées en Afghanistan qui se disputent joyeusement avec les Taliban sur Twitter. En France, l’État major des armées nous avait précisé en janvier dernier "ne pas utiliser ce mode d'action". Fidèle à sa tradition de "terroriser les terroristes" ?