Un hackerspace pour reconstruire l’Irak
[Lu sur Wired]
Originaire d'Irak, l'Américain Bilal Ghalib y est retourné pour monter un hackerspace, le premier dans ce pays ravagé par les conflits. Le projet vise deux grands objectifs : "rappeler aux Irakiens qu'ils ont été parmi les premières cultures de makers" ("créateur") ; et dans un pays traversé par un sentiment anti-Etats-Unis, montrer que les Américains peuvent aussi être des collaborateurs.
Bilal Ghalib mène ce projet dans le cadre de son association Gemsi, dont le but est d'aider au développement d'espaces collaboratifs tels que les hacker/makerspaces, en particulier dans les pays en voie de développement, où ils sont encore trop rares. Elle a déjà apporté son aide à Beyrouth, au Liban, entre autres.
Originaire d'Irak, l'Américain Bilal Ghalib y est retourné pour monter un hackerspace, le premier dans ce pays ravagé par les conflits. Le projet vise deux grands objectifs : "rappeler aux Irakiens qu'ils ont été parmi les premières cultures de makers" ("créateur") ; et dans un pays traversé par un sentiment anti-Etats-Unis, montrer que les Américains peuvent aussi être des collaborateurs.
Bilal Ghalib mène ce projet dans le cadre de son association Gemsi, dont le but est d'aider au développement d'espaces collaboratifs tels que les hacker/makerspaces, en particulier dans les pays en voie de développement, où ils sont encore trop rares. Elle a déjà apporté son aide à Beyrouth, au Liban, entre autres.